Pour sa toute 1ère édition, le festival de courts métrages les Saisons Parisiennes a consacré une carte blanche spéciale à Collectif Prod.
Ce nouveau festival a pour objectif de donner à voir au public russe un aperçu de la créativité française et cinématographique émergente, à Saint-Pétersbourg.
Aux côtés de la FEMIS et de la Maison du Film Court, le Collectif a été invité à composer et à soumettre deux sélections de courts métrages :
1ère Partie :
NU d’Alexandre Tisseyre (HD – 2010 – 7min30 – autoproduction) :
Une grande maison à la campagne. Une femme, deux hommes. Une partie de tennis, une balade en forêt, une omelette aux champignons. Et autant d’étonnantes hallucinations qui révèleront Lucie à elle-même.
DICHTERLIEBE : d’Agathe Cury (16/9 DV – 10mn – 2010)
Adaptation filmique des « Amours du Poète » de Robert Schumann.
EAU FORTE de Lucie Duchêne (HD – 17min – 2010 – Prométhée Productions)
Aujourd’hui Louise se marie avec Benoît. Les familles sont ravies, c’était écrit depuis toujours. Mais ce soir-là , la météo s’est trompée, l’atmosphère est étrangement orageuse. Et contre toute attente, des flux inattendus vont déferler sur la fête du mariage.
BABEL de Hendrick Dusollier (HD – 15min – 2010 – Studio HDK Productions / Maria Roche Productions) :
Depuis les montagnes célestes jusqu’au sommet des tours de Shanghai, deux jeunes paysans quittent leur village pour rejoindre la mégapole.
2ème Partie :
GILLES CORPORATION de Vianney Meurville (2009 – 6’)
Pour surmonter la crise économique, le vieux Gilles, agriculteur à Troyes dans l’Aube, décide se lancer dans la production en masse de « parisiens » à destination du marché chinois.
CHARLIE SE MARIE de Mathidle Bayle (Comédie – 9min17 – 2008 – autoproduction) :
Dans une salle de cinéma, un pianiste s’apprête à accompagner un film muet dans lequel le très drôle Charlie va enfin se marier ! Tout est prêt, l’église, le curé,
L’ANGE 46 de Jules Thénier (HD – 14min50 – 2011 – AQRM Productions) :
Loin de tout, un homme arrive pour en finir avec sa vie. Alors qu’il hésite à faire le grand saut, un Ange tombe du ciel et atterrit à ses côtés. Contre toute attente, l’Ange 46 n’est pas venu pour le réconforter, mais bien pour s’assurer qu’il aille au bout de son geste…
NUYYA de Julien Mokrani et Samuel Bodin (5min35 – 2009 – Six Pieds Sur Terre Production)
Une jungle, un homme, une femme, une méprise… Place au chaos sentimental.
REMY de Romain Basset (6min46 – 2008 – 2C Associés) :
Rémy a six ans et joue avec son grand-père qui s’appelle aussi Rémy. On peut dire qu’ils sont assez turbulents mais ce qui inquiète sa maman semble un peu plus grave qu’une bataille de purée.
Une interview de Sylvain Girault du Collectif Prod à l’occasion du Festival
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